Actualité

Nos déjections comme engrais au jardin : conseils pratiques et législation

Notre corps est une usine à engrais : il en produit une demi-tonne par an. Les aliments rentrent par un bout pour ressortir par l’autre en chaos : en pipi, caca, sueur, crachats, pets et rots. C’est le système nutritionnel universel : les déjections des uns sont la nourriture des autres. Le bon sens paysan voudrait […]

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L’humus, notre grenier à blé, une disparition silencieuse

L’humus est cette fine couche supérieure du sol, les 15 premiers centimètres, où la vie souterraine se concentre et transforme la matière organique en engrais naturel pour les plantes. C’est l’habitat des racines, des vers de terre et des microbes, l’intestin des plantes, le berceau de notre civilisation. Et si l’humus est clairement défini d’un

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Vers de terre, bilan de l’année 2024 : le déclin se poursuit, l’espoir s’éloigne

En résumé, la situation des vers de terre continue de se dégrader en France, malgré une popularité sans précédent. Par ailleurs, nos lois continuent d’organiser leur disparition. Et cerise sur le gâteau, ma lettre du 30 octobre adressée à Madame la ministre de l’Agriculture est restée sans réponse. Son objet : La France persiste à

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L’environnement est privatif et non collectif, il appartient à celui qui le possède

Tel est le sens de nos lois, car elles sont encadrées, depuis 1804, par l’article 544 du Code civil. Or, le 544 n’a pas été écrit pour préserver la planète ou la biodiversité, ni écrit au nom de l’égalité ou du vivre-ensemble, mais pour servir les intérêts de ceux qui voulaient restaurer leurs privilèges perdus

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L’invisible complexité du vivant : un oiseau ou un ver de terre, ça n’existe pas en tant que tel

Un oiseau, un ver de terre ou un mammifère est bien plus que le tiroir dans lequel nous l’avons rangé. Au 16e siècle, stupéfiant, l’abeille, le ver de terre et le rat étaient regroupés dans le même, tout au moins en Occident, celui où l’on rangeait la ver-mine ! À l’exception de quelques classificateurs aveuglés

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Autonomie alimentaire : combien de m² pour nourrir sa famille

Être autonome, c’est ne dépendre de personne, à l’image des animaux solitaires qui ne comptent que sur eux-mêmes. Nous, créatures profondément sociales, dépendons les uns des autres. Mais aujourd’hui, les autres, ce sont aussi les industriels ! Nous dépendons tous des supermarchés et de l’industrie agroalimentaire pour manger. Même pour nos autres besoins élémentaires, comme

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L’écologie d’État est la science du déni

Si nous avions réellement conscience de l’impact brutal et irrémédiable du changement climatique sur l’avenir des générations futures, nous changerions immédiatement. Il en va de même pour la destruction de l’habitat des vers de terre, l’effondrement de la biodiversité, la pollution de l’air, des océans, des eaux potables, et j’en passe. La liste est trop

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Les pesticides nuisent autant aux huîtres qu’aux vers de terre, une contamination côtière

Si les vers de terre sont aux premières loges lors des épandages de pesticides, ils ne sont pas les seuls à être exposés, une partie de ces produits poursuivant sa route jusqu’à la mer ! Plus précisément, entre terre et mer, dans un milieu riche en biodiversité où des hommes et des femmes élèvent huîtres,

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Lettre au ministre de l’Agriculture : La France persiste à traiter ses vers de terre comme des nuisibles

Sans surprise, la COP16 sur la biodiversité, qui s’est tenue à Cali en Colombie, s’est soldée par un échec. Son but était de freiner la sixième extinction de masse des espèces sauvages, alors… Logique dans un monde gouverné par l’argent, où seule l’exploitation des ressources jusqu’à épuisement a du sens. C’est dans ce contexte que

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