L’édition 2024 de la Journée mondiale des vers de terre a été exceptionnelle

Nota bene. La phrase « On cultive la terre comme on se cultive pour rendre fertile sa vie », qui illustre cet article, est extraite de Aux sources de l’agriculture, un livre publié en 2014. Zhúlíng, l’âme du bambou, celui qui plie, mais ne rompt pas, a été mon pseudonyme pendant longtemps.

Le journal qui « s’adresse à toutes les femmes d’aujourd’hui« , s’est appuyé un article du Populaire du centre pour titrer sur les vers de terre :

Le média de l’écologie a publié ma lettre ouverte à Madame la ministre de l’Agriculture, pour l’appeler à légiférer pour préserver les vers de terre. Extrait :

Légiférez au plus tôt pour la préservation des vers de terre, sur la base de la réponse du gouvernement à une question écrite d’une députée le 14 décembre 2021 (page 8838 du Journal officiel) : « Garants de sa bonne santé, leur rôle est considérable : [les vers de terre] assurent le cycle des nutriments, la transformation du carbone ou encore la régulation des ravageurs et des maladies. La monoculture, le labour profond et les produits phytosanitaires affectent aujourd’hui cet équilibre en appauvrissant les terres. » Les nommer dans la loi serait leur offrir ce qui leur fait défaut : une existence légale.