Art. 2 des statuts : La Ligue de protection des vers de terre contribue à la préservation et à la protection juridique des vers de terre, ainsi qu’à la réhabilitation de leur habitat dans le modèle agricole. Parce que la dégradation de leur biotope entraîne l’érosion des sols nourriciers vers les cours d’eau, ou sous la forme de vents et de tourbillons de poussière, et leur raréfaction.
La Ligue agit au nom de l’intérêt des vers de terre, par tous moyens et toutes ressources en lien avec la réalisation de son objet, notamment par le biais de l’éducation, de l’information, de l’observation, de la publication, de l’édition et de l’expertise.
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Historique de leur reconnaissance juridique
Reportage TV sur la Ligue.
La Ligue invitée de la La Terre au Carré.
Les vers de terre sont aujourd’hui un objet de convoitise
Convoités par l’industrie des pesticides pour redorer son image, notamment pour promouvoir le glyphosate, comme si cet herbicide était inoffensif pour leur santé, alors qu’il a des effets délétères sur leur ADN, leur croissance, leur reproduction et leur comportement (source) ; convoités par l’agriculture dite de conservation des sols, convoités par les producteurs de vers de compost, des vers qui ne vivent pas dans la terre et ne sont nullement en danger ; nous sommes vigilants pour que notre association ne soit pas détournée à d’autres fins que la stricte réalisation de son objet.Du vé
Déjà vécu avec plusieurs tentatives de prise de contrôle du Jardin-vivant : l’audience et la visibilité (40 000 abonnés) attirent inévitablement les convoitises comme les mouches à merde par un pot de miel. Bref.
Pas de bla-bla
Pas de temps à perdre dans des réunions où ça blablate, ou à dilapider notre énergie dans une gestion du fonctionnement interne, nous conservons ce qui a fait le succès du Jardin-vivant, à savoir une équipe ultralégère et mobile.
Les membres de SOUTIEN soutiennent financièrement et moralement La Ligue. Ils ont accès à des informations exclusives et à un conseil personnalisé tous les ans. Ils reçoivent la newsletter bi-mensuelle et peuvent intervenir localement à la demande du Conseil d’administration (CA). Le montant de la cotisation annuelle est libre et conscient : chacun donne en fonction de ses moyens.
Les membres ACTIFS ont ce plus : ils doivent être motivés – écrire ce pour quoi ils le sont – et être porteur d’un projet. Si leur projet est validé par le CA, ils en deviennent le chef de projet et l’équipe se met à leur service.
Le nœud
Les vers de terre sont actuellement victimes d’inexistence juridique. C’est le nœud, et tant qu’il ne sera pas résorbé, ni ses défenseurs ni les vers de terre ne seront pris au sérieux. Au mieux des bouffons pour amuser la galerie, du vécu !
Pour illustrer l’inexistence juridique, prenons l’exemple d’un animal qui existe dans la loi : le 🐺. L’État dépense tous les ans plus de 30 millions d’euros d’argent public pour le maintenir sur son territoire, et pas un centime pour les vers de terre. Et plus les loups l’étendent, plus l’État met la main à la poche. Pour les 🪱, que nenni, rien, pas un clou tant qu’ils n’existeront pas dans les textes de loi.
Comment ?
En changeant le climat intellectuel ! Pour cela, il faut sans cesse faire acte de pédagogie pour changer le regard que nous portons sur lui, les sols nourriciers, les écosystèmes, la planète… ce que nous faisons depuis bientôt 10 ans.
L’Éloge du ver de terre n°1 est épuisé et ne sera pas réédité.
Idem pour le 2, bientôt épuisé, il ne sera pas réédité.
En libraire ou dans notre boutique.