Le succès médiatique de l’Éloge du ver de terre est tout bonnement incroyable.
Inattendu, présent jusque dans le dernier Psychologies magazine !
L’abeille et le ver de terre,
même combat !
Même combat, car les destins de nos deux butineurs sont autant liés que croisés. Mais butiner ne veut pas dire polliniser. Quand l’un nourrit la plante, l’autre la féconde… 🙂
La Région a soutenu l’écriture de ce livre en qualité de partenaire culturel et financier.
Sommaire
- AVANT-PROPOS
- Nous n’aimons pas les insectes
- L’abeille est-elle un ver ?
- Si l’abeille disparaissait
- PARTIE 1
- Une abeille peut en cacher une autre
- Apicole ou sauvage
- Faire l’éloge de l’abeille n’est pas faire celui de l’apiculture
- PARTIE 2
- Glyphosate mon amour
- La fabrique du doute
- Un amour perturbant
- Colony Collapse Disorder
- Des z’amours d’OGM
- Varroa
- PARTIE 3
- Les reines du butinage
- Mettre le vivant en boîte
- Les insectes utiles
- Douées de sensibilité
- CONCLUSION
- Qui faut-il sauver ?
- Être le mâle de l’abeille, c’est ne pas être
- APRÈS-PROPOS
- Classification des abeilles française
Résumé
Après le succès de l’Éloge du ver de terre, voici celui de l’abeille. De l’abeille, oui mais laquelle ?
Car faire l’éloge de l’abeille n’est pas faire celui de l’apiculture, mais des abeilles, ce monde féminin pluriel qui approche les 1 000 espèces en France. Des petites de la taille d’un moucheron, aux grosses comme le bourdon ou l’abeille charpentière, chacune a son caractère, son univers.
Mais ce monde fragile et magique, où les auteurs nous emportent, s’effondre, cloué au sol par un environnement hostile. Pour la première fois, ce livre propose d’autres causes pour expliquer cet effondrement.
Certes, les insectes ont le bourdon… Et vous vous dites que ce livre va vous le donner. Grave erreur ! Et si c’était l’inverse ? Et si ce pamphlet vous donnait envie de butiner la vie ?
Une histoire simple
L’abeille européenne, Apis mellifera en latin, Apis pour abeille, et mellifère pour qui produit du miel, est un insecte social qui vit en famille dans une ruche. Une famille monoparentale composée d’une maman, la reine, d’ouvrières, ses filles, sœurs et demi-sœurs, et de quelques garçons, des demi-frères qui ne travaillent pas.
Et dans leur « maison » transformée en une véritable usine, les abeilles produisent du miel, des provisions sucrées, car, pendant la morte-saison, la famille, enfin l’essaim, n’hiverne pas mais vit replié sur lui-même. Et ce sucre lui sert à se nourrir et à produire de la chaleur pour se chauffer. Mais comme les histoires simples finissent généralement en des histoires à dormir debout, nous allons vous raconter leur véritable histoire.
Bonjour
Merci pour les abeilles …
A une moindre échelle, je sensibilise autour de moi à l’existence et à la défense des abeilles solitaires encore très mal connues du grand public;
je souhaiterai en faire encore plus tant je considère ces hyménoptères comme une autre famille…
Je passe beaucoup de temps à les cotoyer, les admirer et les photographier aussi,car j’ai le bonheur d’avoir pu les accueillir dans mon jardin avec une diversité intéressante.
Je suis preneuse d’idées et d’initiatives qui me permettrais de les défendre encore et toujours.
Merci aussi pour votre réponse
Mariana1
En écho à votre ouvrage : plasticienne j’ai réalisé une nouvelle série sur le thème des abeilles. Cette série de dessins aux crayons de couleur évoquant, par une suite d’abeilles mortes, la pollution par les substances chimiques et les pesticides utilisés dans l’agriculture. A découvrir :
https://1011-art.blogspot.com/p/vous-etes-ici.html
Merci pour elles… et nous !